RDC-Menaces de plainte du SPG Marie Claire Shangalume : Blanchiment pour camoufler la vérité ? (Tribune) 

Pendant que notre parcelle devient le théâtre d’affrontements des forces de sécurité, zone frontalière au Congo Brazzaville, le SPG distrait l’opinion par des menaces de plainte. Nous en profitons pour remercier la première Dame pour son d’équité et de droiture.

Pourquoi le nom SPG Marie Claire Shangalume revient à tout moment et non d’autres magistrats puisqu’ils sont des milliers ? C’est la question qu’elle devra elle même se poser.

Nous portons à sa connaissance que l’on ne menace pas la vérité ou la raison parce qu’elle finit par triompher et nous lui garantissons que notre victoire est très proche et aucune menace ne nous fera reculer. Nous informons les autorités judiciaires et politiques que le SPG Marie Claire n’a pas demander l’autorisation à porter plainte, nous sommes déjà avec elle en justice et c’est le lieu indiqué pour régler nos litiges.

Nous détenons des innombrables preuves sur son implication et le cas échéant d’un document que nous mettons déjà à votre disposition. Comment un bien successoral ou la succession n’est pas encore organisé peut il déjà appartenir à des personnes que la famille ignore totalement et qui construisent déjà ? Qui les a t-il vendu ? En quelle qualité ? Pourquoi le SPG empêche les enfants du de cujus d’entrer en contact avec le grand frère de leur père encore en et qui reconnaît honnêtement le droit de ces enfants. Pourquoi le SPG menace d’arrestation ce vieil homme de plus de 80 ans ? Pourquoi complote t-elle avec une femme mariée au régime de séparation des biens avec le de cujus, divorcée avant même sa mort, remariée à un autre homme ? Une liquidatrice attaquée par une citation directe remettant en cause sa qualité et l’usage de faux sur différents documents ? Quel exemple donnons nous au monde et de quel droit s’agit t-il ? Les magistrats sont t-ils devenus intouchables dans ce pays ?

Nous en appelons au chef de l’état, magistrat suprême d’instruire les services attitrés pour enquêter sur notre concession non loin de sa résidence mais qui risque de devenir une zone dangereuse. Nous l’attendons de pieds fermes devant la justice et ne la quitterons pas de l’oeil tant qu’elle ne se retirera pas de notre concession où elle crée l’insécurité et la désolation.

Elle a attribué des espaces à des personnes fortes que nous ignorons et qui constituent à ce jour un grand bouclier contre la justice. Le frère de Cujus vieux actuellement de plus de 80 ans lance un appel à la première Dame d’intervenir positivement pour que la justice soit équitablement rendu.

Nzoto Obale , Expert en communication résident en Belgique